La disponibilité en ressources agricoles et forestières
Le climat malien est favorable à la production d’une gamme très variée de produits dont les céréales, fruits et légumes, bétail, poisson, tubercules et racines, graines protéo-oléagineuses, plantes stimulantes etc.).
Les terres rurales sont estimées à 46,6 millions d’hectares (dont 12,2 millions de terres agricoles, 30 millions de terres de pâturage, 3,3 millions de réserves de faunes, 1,1 millions de réserves forestières), et le pays est arrosé par deux grands fleuves (Niger sur 1 700 km et Sénégal sur 900 km) et leurs affluents, créant de vastes zones inondables avec plus de 2,2 millions d’hectares de terres aptes à l’irrigation sous réserve d’aménagement.
Les possibilités d’intensification existent avec des paquets technologiques adaptés, générés par la recherche agricole sur les principales cultures. Ces recherches sont principalement orientées vers l’accroissement de la productivité et de la qualité des matières premières.
Un Climat des investissements amélioré
Dans ce domaine, les actions initiées sont :
La relecture et l’adoption du Code des Investissements en vue d’instaurer un régime douanier et fiscal plus incitatif et offrir des garanties supplémentaires aux investisseurs ;
Le renforcement des moyens opérationnels du Guichet Unique, notamment à travers l’informatisation des opérations d’enregistrement et la réduction des délais de formalités de création d’entreprises et de traitement administratif des dossiers
L’adoption des textes législatifs et réglementaires portant sur l’Aménagement et la gestion des Zones Industrielles en vue de permettre aux investisseurs d’accéder à des parcelles à usage industriel, viabilisées au moindre coût ;
plus d'informations
L’élaboration et l’adoption d’un plan d’actions pour l’amélioration du climat des affaires ;
L’opérationnalisation de l’Agence pour la Promotion des Investissements au Mali (API-MALI) ;
le renforcement du Fonds de Développement Economique (FDE) ; vii) l’adoption par le Gouvernement d’une Loi d’Orientation du Secteur Privé ;
la création de l’Agence pour la Promotion des Exportations (APEX) ;
la mise en place par le Gouvernement d’un Fonds National d’Investissement et d’un Fonds de Garantie